Au XVIIe siècle, le vin se popularisa d’autant plus. À la cour, on s’enivrait élégamment pendant que les femmes en province consommaient du vin et de l’alcool fort. L’ère suivante, romantique, transforma totalement l’image du vin et de la femme elle-même, qui se devait d’être fragile. La boisson était réservée aux femmes des rues, de petite vertu, possédant le goût de la provocation?: «?Femme de vin, femme de rien?», disait-on à l’époque.
«Les femmes et le vin à travers l’histoire» Wine’s up?, Kevin Chaulet